Début des hostilitées
Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il y avait du travail avant de pouvoir présenter la cox au CT.
Dans les semaines qui ont suivies l’arrivée sur plateau, nous avons:
- Tombé le tableau de bord qui avait bien besoin d’un coup de jeune.
- Refait le faisceau électrique de A à Z.
- Résolu le problème de l’embrayage: le disque installée n’était pas le bon modèle…
- Travailler sur l’embrayage a nécessité une dépose du moteur, opération périlleuse pour les novices que nous sommes, mais qui fut menée à terme sans trop de problèmes.
- Plein d’autres petites bricoles dont je n’ai plus souvenir ou que mon père a fait seul.
L’ancien propriétaire ayant à prévu d’en faire un call look (ou quelque d’approchant), tous les chromes avaient étés retirés et et tous les orifices bouchés (donc plus de poignées de coffres ni d’emplacement de rétroviseur)
Par mesure de sécurité le capot fut remplacé (solution de facilité: Cédric en avait un en stock) de manière à remettre une poignée au coffre arrière.
Pour le rétroviseur: ne pouvant plus le remonter à son emplacement d’origine (orifice bouché et emplacement de l’écrou colmaté à l’étain) il fut décidé d’installer un rétro type « origine » (pas de modèle « obus » où on n’y voit rien) à proximité de l’emplacement de l’antenne (choix motivé par le fait que la visibilité est alors aussi bonne qu’à l’emplacement d’origine, et que l’accès intérieur pour le serrage est « presque » facile). Cela a cependant nécessité la fabrication d’une petite pièce d’adaptation pour le mettre à l’horizontale. (merci la fraiseuse à commande numérique sur ce coup)
Pour la même raison il fut décidé d’installer des pare-chocs post-1974, car ils intègrent les clignotants, ce qui m’évite de repercer les ailes (même s’il est vrai que les clignotants d’ailes font partie du charme d’une cox…)
J’ai repéré un point faible au niveau des fixations des ressorts du capot avant, mais mon père m’a affirmé que ça tiendrais (et ça a tenu … quelques mois).
Dernier commentaire